Sir Frederic Madlington Admin
Age : 34
Carnet du sorcier Humeur actuelle: Charmeuse Totem: Encore inconnu Trait particulier visible actuellement: Ne se baigne qu'avec son bermuda à fleurs
| Sujet: Willy Benedot, sans maison /!! Lun 28 Fév - 18:05 | |
| Note spéciale: Willy est soumis à particularité. Rescapé du scénario final d'Elementia, il est exigé que ce soit un joueur expérimenté qui le prenne et son test rôle play sera particulièrement étudié. De plus, Willy ne peut pas être pris sans que le personnage d'Elysabelle, sa tendre moitié, le soit très rapidement également.Prénom : Willy
Nom : Benedot
Age: 15 ans
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Baguette: Willy n’en a plus, il l’a perdue dans le cataclysme d’Elementia.
Histoire:
Didier, le père de Willy est professeur d’histoire dans un collège pour garçon Parisien.
Hélène, la mère de Willy est professeur d’histoire magique dans une école sorcière Parisienne.
Eux deux, en plus de l’histoire d’une façon générale se voient passionnés par une chose singulière : la couronne d’Angleterre. En 1981, tous deux font le même voyage pour assister en direct au mariage princier : Charles épouse Diana.
Hélène voyage en cheminette tandis que Didier vogue sur les flots.
Ils se trouvent tous deux devant la même barrière de sécurité, et rient de la même façon devant le garde anglais qui, lui, ne bronche pas. Quand leurs regards se croisent, c’est le frisson, l’évidence. Pendant que la princesse monte dans sa calèche avec son prince, ils échangent leur premier baiser. Ils découvrent étonnés qu’ils habitent tout près l’un de l’autre, bien qu’Hélène ne précise pas que son quartier magique, à elle, est invisible à Didier.
Ils promettent de se retrouver et bien vite, Hélène est face au dilemme de sa vie. Elle aime cet homme, ce moldu. Elle sait qu’une barrière difficile à briser se trouve entre eux. Le grand secret… comment se passe-t-il pour les couples mixtes ? Rien n’est-il possible ?
Hélène brave ses peurs les plus profondes pour revoir Didier. Elle grimpe dans ce train sous-terrain bruyant et mouvementé qu’ils appellent « métro », elle affronte la pluie en utilisant ce vieux parapluie plutôt qu’un sortilège d’imperméabilité, elle commande un café en rechignant ses envies de Bierraubeurre.
Au final, malgré ses appréhensions, Hélène sait que c’est lui qu’il lui faut et contre l’avis de ses proches qui préfèreraient la voir épouser un sorcier elle lui avoue tout. Elle lui présente son monde, doucement mais sûrement, ne voulant pas l’effrayer. De son côté, Didier, choqué tout d’abord, surpasse ses peurs par amour car pour lui aussi, c’est elle qu’il lui faut.
Bientôt, ils se marient et ont un premier enfant : Diane (en l’honneur de la princesse…)
Les époux conservent une vie simple, dans le Paris sorcier. Didier y a été accepté après avoir prêté serment devant le ministère de son éternel respect du grand secret et avoir accepté que tout enfant né du couple présentant des pouvoirs magiques soit éduqué dans la maîtrise de celle-ci.
A leur famille vient s’ajouter Willy (en l’honneur du premier enfant du couple princier qui les a réunis), 6 ans plus jeune que Diane.
Dès sa plus tendre enfance, Willy développe un caractère bien à lui. Avec ses boucles blondes et son adorable visage rondouillet, il enthousiasme tout le monde. Quand il commence à parler, il devient un véritable petit bavard, appréciant de faire rire les siens. Il aime profondément sa famille, et particulièrement sa sœur Diane, bien que celle-ci soit désespérée de ne pas manifester de pouvoirs magiques. En effet, à ses 12 ans elle n’a toujours présenté aucune particularité sorcière et un essai de la baguette de sa mère n’a réussi qu’à faire exploser le canapé du salon.
Willy, lui, sait depuis toujours qu’il a quelque chose de spécial. Il ne veut pas le crier trop fort, pour ne pas faire de peine à Diane. Depuis tout petit, Willy, qui avait une légère peur du noir, avait vu, chaque nuit, naître au dessus de lui une lueur magique. Nullement provoquée par Hélène, il savait que ce n’était que son œuvre personnelle.
Quand un hibou arrive dans sa chambre à l’aube de ses onze ans, il est pris par la joie et la culpabilité.
Il est accepté à l’école de Magie d’Elementia, dans la maison Aqua. La nouvelle est accueillie sans animosité par Diane mais avec une certaine appréhension de Didier. Savoir son fils unique loin de lui, dans une école dont il ne savait rien le met mal à l’aise. Mais il a prêté serment, et Hélène était elle-même une ancienne élève d’Elementia.
Lors de sa première année, Willy adore particulièrement sa maison, son directeur farfelu Delphin Neptus et il a une peur bleue dans un jeu appelé « jeu du courage » où sa peur du noir, pourtant atténuée avec les années est de nouveau mise en avant. Willy apprécie particulièrement les cours de potion, où d’ailleurs il se montre fort doué. Par contre, les cours de sortilèges et d’Elementarisation, eux, sont bien plus difficiles. Cumuler concentration, geste, formule, est un mélange si difficile pour un esprit si habile à la concentration.
En deuxième année, alors que les équipes de Quidditch se forment autour de lui, il refuse poliment la demande d’Ulrich d’intégrer la sienne et préfère monter une activité annexe, un club de natation. Dans la grande piscine d’Elementia, les « otaries agiles », se retrouvent chaque semaine pour divers entraînements : nages variées, courses, plongeons, figures…
C’est là qu’il rencontre Elysabelle. La jeune fille, Aéri, est la plus douée dans la natation synchronisée. Son corps ne fait qu’un avec l’onde quand elle y danse et il n’apas fallu grand-chose pour que Willy pense qu’elle était une sirène. La jeune fille apprécie directement l’humour et la sympathie du capitaine des Otaries et elle craque définitivement pour lui quand il la courtise à renfort de fleurs, petits mots et petits présents et quand, lors de l’échange de cadeaux à l’occasion de Noël il prend vigoureusement sa défense devant celui qui a osé lui offrir, comme familier, un crapaud magique répugnant et particulièrement malodorant.
En troisième année, Willy parvient à légèrement progresser en sortilège mais il est bon dernier de sa classe dans cette discipline. En revanche, les potions et la divination lui semblent une évidence. Quant au sport, les Otaries sont toujours en activité mais Willy, sentant avec sa croissance le besoin de bouger toujours plus accepte le poste de remplaçant au sein de l’équipe d’Ulrich. Malheureusement, il ne peut rien faire depuis son banc contre l’écrasante Victoire des Aeris, avec un superbe arrêt du vif par Malicia Braid.
Lors du bal de fin d’année, il accompagne une Elysabelle plus belle que jamais. Sa robe confectionnée dans un tissu argenté par le couturier de Mivia Town restera dans les anales de l’évènement. Bien que sa relation soit parfaitement officielle avec sa belle cavalière, une envie irrésistible de l’embrasser le prend dès son entrée dans la salle de bal. Cela tombe bien, une branche de guy est justement au dessus d’eux.
Rien ne laisse présager l’horreur qu’ils vont vivre quelques temps après.- Spoiler:
Les deux amoureux ont bien entendu les rumeurs diverses d’un mal rongeant leur école et les ordres stricts concernant le couvre feu, mais l’envie de se voir et de profiter l’un de l’autre est plus forte, à 14 ans. Ils s’attardent donc, ce soir là, dans un dernier baiser, et ils crurent bien que ce serait le dernier.
Tout d’abord, Willy croit être tombé ( quelle idée !) et avoir juste perdu le contact avec sa bien aimée. Il sent quelque chose autour de son cou, c’est inhabituel et la panique le submerge soudain quand il voit devant lui le corps flottant d’Elysabelle et un autre personnage inerte, une fille apparemment. Il est comme dans une bulle, manipulé totalement par cette chose qui pend en son cou. Il veut hurler, se débattre, lever ses bras pour arracher le collier mais rien dans son corps ne lui répond plus.
Ils sont piégés, piégés par cet affreux Rufus ! Il les a emprisonnés et Willy sent naître en lui la plus grande peur de sa vie. Son cas personnel lui importe peu, mais Elysabelle…et cette fille, une Terro, plus jeune qu’eux encore…
Irrésistiblement, tels trois pantins, ils suivent le surveillant, invisibles aux yeux de tous, muets et silencieux dans leur prison cotonneuse. Pourtant Willy se débat. Elysabelle aussi, lutte et la Terro puise son ultime énergie. Il se dit que cette bulle magique n’est qu’une longueur de piscine après le plus éreintant entraînement. Il faut résister, puiser ses dernières forces pour arriver au bout.
Rien n’y fait et il se trouve épuisé et enragé quand ils arrivent soudain dans les toilettes. Là, sans s’y attendre, il reçoit sur la joue une giffle qui fait automatiquement gonfler sa pommette. Mais la plus cruelle douleur est de voir celle qu’il aime frappée de la même manière, ainsi que la jeune fille brune. Celle-ci, comme Elysabelle, sombre dans l’inconscience. Willy est abattu, vidé de ses forces et atterré par une telle cruauté. Il sent son espoir s’évaporer.
Quand Liam entre dans la bulle à son tour, il n’a pas de collier. Il est leur nouvel espoir. Elysabelle est tellement courageuse. Entraînés par l’énergie fraîche du Flammen ils reprennent leur lutte, unis et presque forts . La transplanation les déstabilise et quand ils arrivent dans la volière, Willy a soudain une pensée pour sa famille.
Les larmes coulent sur ses joues avec plus d’amertume. Sa famille, s’il avait su qu’il ne la reverrait plus… Il ne peut pas renoncer et Liam est si vif et violent, Willy sent qu’ils vont faire plier Rufus. Lui aussi l’a compris. Un nouveau coup le cloue au sol. Quant à l’élève rebelle, sa punition magique est si horrible que Willy ferme les yeux et pleure encore pour son salut. Finalement, la mort n’est-elle pas préférable à cette torture ?
Soudain la conscience de son corps lui revient. Il sent la pression magique disparu et il ouvre les yeux. Comment étaient-ils arrivés là ? Et où c’est, là ?
Il peut bouger, il peut se déplacer. Malheureusement des liens emprisonnent ses membres. Elysabelle !
Il rampe doucement vers elle et attrape comme il peut sa main. Elle tremble. Même lui lui fait peur, il le sent. Il presse sa main dans la sienne, se voulant rassurant, mais les amoureux n’y croient plus.
Il veut serrer plus fort, la prendre même dans ses bras et l’embrasser mais il n’a pas la force de tenter de rompre la ficelle qui l’attache. Il l’aime tant pourtant, comment peut-on être si abattu ?
Le mage lève ses mains, les flashs de couleur fusent et Willy pense que le sort fatal sera bientôt là. Elysabelle pleure à ses côtés, sursautant à chaque spasme écrasé de sa gorge.
Il se penche vers lui, le saisit et casse la ficelle qui l’emprisonnait. Willy hurle, crie, et veut frapper celui qui va leur ôter la vie. Il est fou furieux, et il sent soudain sous ses ongles la peau ridée de l’homme craquer. S’il a pu marquer à vie son visage, c’est une maigre vengeance mais c’est déjà ça. On le place dans un liquide. Son élément, celui qui lui est si cher l’emprisonne soudain, semble le pénétrer et le figer. Il hurle, pleure… panique mais ne peut plus rien. Les autres sont placés aussi. Quel espoir reste-il ? Pourtant ces voix. Enfin ! Ils viennent, ils vont les sauver ! Tant qu’il y a de la vie … l’eau glacée qui semble couler dans son sang paraît moins douloureuse et il parvient même à se concentrer pour écouter ce murmure sauveteur qui arrive.
La chute est brutale, et lui foule certainement une cheville mais Willy trouve dans l’espoir une force nouvelle et il parvient à aller jusqu’à Elysabelle. Il l’embrasse doucement et l’emprisonne dans ses bras maintenant libres, murmurant à son oreille des mots chargés d’une aura positive. Bientôt ils sont tous les quatre dans une étreinte instinctive, se diffusant leurs chaleurs et ne faisant qu’un pour garder l’espoir. Willy sombre inexorablement dans une demi-conscience et quand il retrouve pied c’est pour plonger en larmes dans les bras d’Elisabeth Eidos, leur directrice. Elle ne les avait pas abandonnés, et ils étaient sauvés…
Willy s’éveille quelques temps plus tard dans un lit blanc, à l’hôpital sorcier. A son chevet se trouvent ses parents et Diane, les visages gravés d’inquiétude. Il n’y a chez l’adolescent plus beaucoup de traces physiques de ce qu’il a vécu. Les hématomes de ses joues s’estompent déjà, sa cheville a été soignée magiquement. En revanche, les ravages de son esprit sont tels qu’il ne peut dire un mot pendant 15 jours. Tout ce qu’il fait c’est ressasser ce qu’il a vécu et tâcher d’enlever la brume des derniers évènements. Quand a-t-il été séparé d’Elysabelle? A-t-il réellement vu sa tour exploser ? Est-ce que ce dragon crachant le feu au dessus du château emprisonné était-il bien là ? Ou se trouve sa baguette magique ? Il lui semble bien pourtant l’avoir levé à côté de cette fille, la terro qui avait souffert avec eux…
Dès que ses yeux se ferment, c’est pour revivre ces moments de torture et il accumule les cauchemars. Il n’ose réaliser aussi que son école n’existe plus. Il griffonne sur un papier le nom d’Elysabelle. Il faut qu’il la revoie.
Les retrouvailles se font à la sortie de l’hôpital. L’Aeri semble presque forte par rapport à l’aqua. Elle ouvre ses bras à Willy, et c’est une déclaration d’amour qui descelle enfin les lèvres du garçon.
Le reste des vacances sera consacré à leur reconstruction. Petit à petit, les cauchemars laissent place à de nouveaux bonheurs. Willy retrouve peu à peu sa vigueur, son humour même. Il fait la connaissance de Giles, le petit ami de sa sœur Diane, qui est sorcier, lui aussi. Giles a étudié à Eleus-Theria et il a apprit, faisant un stage au ministère magique, que les élèves d’Elementia étaient pour la plupart redirigés vers cette école. Il y retrouverait les siens et il pourrait poursuivre son apprentissage magique.
A la fin de l’été, tout semble presque redevenu normal. Elysabelle et lui sont inscrits à Eleus Theria. Willy a écouté Giles décrire l’île et il rêve déjà de tester chaque parcelle de rivière avec les Otaries agiles. Elysabelle et lui sont plus amoureux que jamais. Il reste toutefois quelque changements majeurs. Les cauchemars, eux, sont toujours prêts à revenir et Willy a laissé derrière lui son innocence et sa naïveté. La famille unie et soudée Benedot est ébranlée par la fin d’Elementia. Didier et Hélène ne cessent de se disputer, le moldu n’arrivant pas à s’éviter d’accuser la magie et ses perversions d’avoir failli tuer son fils et s’éloignant de plus en plus du monde de sa femme.
Quand Willy part pour l’île, ils sont au bord du divorce.
Caractère : Willy est un garçon populaire, que l’on apprécie en général grandement. Doté d’un grand sens de l’humour il ne manque jamais une occasion de faire rire ses camarades. Bavard, pétillant, croquant la vie à pleine dent, il ne sait que rarement être discret. Il n’a pas d’ennemi à déclarer et n’adhère à aucune autre action de concurrence que celle du sport. Il apprécie le Quidditch mais se montre bien d’avantage doué dans les sports nautiques. Très bon nageur, et particulièrement lié à l’eau, il apprécie passer de longues heures à faire des longueurs, souvent totalement immergé pour un contact plus puissant. Willy est un camarade fidèle et dévoué. Il a le cœur sur la main, et sera le premier à donner sa chemise à quiconque dans le besoin. Willy est un garçon gentil, plein de romantisme et de tendresse. Protecteur, attentif, il sait rendre heureuse celle que son cœur choisit. Depuis son horrible expérience à Elementia, cependant, Willy voit son caractère de protecteur exacerbé et il a tendance à imaginer le pire très rapidement. Il se montre également bien plus possessif qu’auparavant et a besoin lui-même de se savoir entouré. Il a perdu l’innocence de l’enfance et met beaucoup plus de temps à accorder sa confiance. En revanche, quand il le fait c’est entièrement.
Physique : On remarque en premier ses yeux d’une couleur unique. Un bleu turquoise, quelques dorures même, ce regard est captivant. Willy est quelqu’un de costaud mais avec une légère tendance à l’empattement dès qu’il ne fait plus de sport. Ses joues alors sont vite rebondies et il ressemble d’avantage à un enfant. Ses cheveux sont d’un blond clair, bouclant naturellement pour une coiffure tout en complexité légère. Willy a une carrure athlétique, particulièrement musclé des épaules, ceci car c’est un grand nageur.
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